Leslie Nr53 : La Dernière Soirée Et L’Aire D’Autoroute, Suite Et Fin

Leslie NR53 – Nouveaux récits
Rencontre insolite – La dernière soirée et l’aire d’autoroute, suite et fin

Ces pensées m’ont excitées au plus haut point, je bande comme une malade, il serait temps que je me décontracte, une aire d’autoroute fera l’affaire et je devrais trouver

Le parking en bordure d'autoroute est là, je bande et j'ai envie, il est tard, et je me dirige vers l’endroit le plus sombre, j'ai envie de faire une rencontre fugace, je ne suis pas une spécialiste des aires de repos mais tant pis cela a quelque chose d'excitant de défendu, un côté inhabituel…
Il est temps que je trouve un mal, baisée ou me faire baisée, peu importe, je stationne, coupe le contact et sort de ma voiture. Il y a beaucoup de camions stationnés et quelques voitures, pas de mouvement.
J'en profite pour prendre ma queue et me branler en m’appuyant sur l’aile de ma voiture, je pense que ma position et mes gestes sont explicites et que quelqu’un m’aura remarquée.

Je remarque qu'un homme est en train de me mater, il peut me voir la jupe relevée, la fin de mes bas et la peau claire de mes cuisses, en plus ma main s’activant sur mon sexe ne laisse aucun doute sur mes futures intentions.
Il s’approche et me dit :
- Salut ma belle, ça va ?
- Oui je vais très bien.
- Tu as envie ?
- Possible... Que je réponds.
- Active ou passive ? Me demande t’il.
- Les deux à toi de choisir…
- C’est gros !
- Oui, mais je suis très douce.
Sa main prend mon sexe pour voir et il me dit :
- Tu me suces d’abord et on voit…
- Ok. Dis-je.
Aussitôt il sort sa queue et la présente à ma vue, une belle queue bien raide, je la caresse pendant que je m’accroupis, mais je ne pouvant résister plus longtemps, je la prends en bouche et commence à la sucer, je sens que ça lui plait et peu de temps après il me dit :
Tu vas me suivre dans la couchette de mon camion, il y a plus de place et nous serons tranquilles.

Alors je me dirige avec lui vers son camion.
Nous y montons et tout de suite il se met à me peloter en me disant :
- Tu vas être gentille et bien te laisser faire, j'aime beaucoup les trans comme toi et j’adore les petits culs.
On s'embrasse sa langue bien plantée dans ma bouche, ses mains me branlent je suis chaude.
- Mets-toi à quatre pattes et écarte bien tes cuisses, montre ton petit trou de salope.
Je m’exécute, ça me plait, j'ai toujours apprécié les hommes dominants et directs qui savent profiter du moment.
- Ecarte plus tes jambes, montre-moi ton trou plissé.
J'écarte mes jambes et puis je ne sais pas pourquoi avec mes deux mains j'écarte mes fesses.
- Ohhh, mais tu es bien ouverte chérie, tu aimes te faire prendre salope, je vois ça.
Il glisse deux doigts dans mon anus et s'amuse, il me caresse les couilles, mais ne me suce pas, j’aurais bien aimé.

Puis il me demande de le sucer avant de me prendre, je me penche, je le suce, ma bouche s'active sur ce membre raide qui ne demande qu’à exploser, j'ai le corps en feu.
- Maintenant, tournes-toi et offre-moi ton trou, me dit-il.
Je me tourne, il s’équipe d’un préservatif, même si je n’aime pas trop c’est quand même préférable, puis ses mains m’agrippent les hanches et il m'attire à lui et m’encule sans ménagement.
- Tu es bonne, tu as un bon cul.
Après m'avoir bourré pendant un long moment, je sens sa queue gonflée avant qu’il ne remplisse le fond de mes entrailles.
Je suis repue je n'ai qu'une envie rentrer, me mettre au lit et faire un gros dodo.

Je quitte le camion, le chemisier grand ouvert et ma jupe relevée à la ceinture et c’est le cul et le sexe à l’air que je retourne vers ma voiture…
Un camion était garé près d’elle et une silhouette descendit du camion et se posta entre ma voiture et le camion en m’attendant.
Arrivée à ma voiture, il me demanda si je cherchais de la compagnie.
Souriante, je lui dis qu’il était possible que ce soit le cas, mais que je cherchais, pour finir la soirée, un petit cul accueillant pour me soulager d’une journée bien remplie…
Ravis par mon propos, il me dit qu’il était intéressé par se prendre une belle queue dans le fondement, mais étant quelque peu novice en la matière, puis en regardant mon membre encore dressé, il eu un frisson en disant :
- Je crois que ton membre trop gros pour mon petit trou serré.
- Ne t’inquiète pas, luis dis-je, je suis douce.
Prenant sa main je lui ai fait prendre mon sexe entre ses doigts en lui disant :
- Si tu le trouve trop épais, alors restons en-là.
- Ohhh non, je veux bien essayer, mais je vais te sucer avant.

Il mit ses propos à exécution et c’est accroupi à mes pieds qu’il prit mon membre en bouche, elle était douce et chaude et un frisson me parcouru.
Puis, mes mains posées sur sa tête, je lui ai imprimé le rythme des va et vient que je voulais lors de cette fellation, ce n’était pas la première fois qu’il suçait une queue le salaud, il savait y faire. Alors que sa bouche s’activait sur mon membre, une main malaxait mon corps et l’autre excitait mon petit trou, des doigts me fouillaient le cul et parfois pressait mes couilles.
- Maintenant, je vais t'enculer et tu vas aimer…
Je le fis pencher en avant, le buste sur le capot de ma voiture, puis j’ai rapidement glissé mon sexe dans une capote, sortis de la petite poche à l’avant de ma minijupe.
Puis je posais mon gland sur sa rondelle et marquais une courte pause afin qu’il prenne conscience que je n’allais pas tarder à le sodomiser.

J’insérais un doigt dans son rectum et constatais qu’il était prêt, alors mon gland collé contre sa rondelle et grâce à une légère pression entra sans forcer.
Je le tenais maintenant par les hanches et commençais à imprimer un léger va et vient en entrant un peu plus profondément à chaque fois…
Je l'enculais vraiment doucement.
- T’aime qu’on t’encule ? Lui demandais-je.
- Oui, j’adore !
Alors j’ai accéléré la cadence, mes couilles venant taper contre les siennes à chaque fois, alors il se mit râler en se branlant d’une main.
Ma queue lui défonçait l’orifice, il n’en pouvait plus, il jouissait sans interruption et me suppliait d’arrêter, mais ce n’était pas du tout mon intention.
Son petit cul me serrait la queue, la sensation était divine et je voulais prolonger le moment au maximum et qu’il se souvienne de cette nuit sur une aire d’autoroute.
J’ai limé ce cul pendant un long moment et au moment de jouir, juste avant, j’ai sorti mon membre de son cul pour le rentrer aussitôt violemment, il poussa un petit cri et je me rependis au fond de la capote et de ses entrailles en de larges saccades de sperme chaud.
Je suis sorti lentement de lui et je l’ai entendu dire :
- Merci.
J’étais épuisée, souillée par le premier camionneur et vidée grâce au second, il me fallait maintenant rentrer et retrouver mes habitudes quotidiennes, mais jamais, je le savais, je renoncerais au sexe.

A suivre…